Dans une ruelle cachée italien, où les eaux mauvaises des ponts reflétaient la clarté vacillante des lanternes, une tisserande travaillait avec une précision magique. Ses toi habiles pratiquaient varier les fils d’or et d’argent sur son métier, élaborant des étoffes d’une scintillement inégalée. Mais ce n’était pas uniquement son don https://cristiantchln.blogdeazar.com/33947432/les-fils-du-destin