Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une jour presque irréelle. La tisseuse contemplait son travail manuel, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque fil, tout occasion entrelacé formait une truisme indissoluble : le devenir du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer https://devinfuzce.blogacep.com/39102009/les-fils-du-destin