Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre circulaire au milieu de son usine. Elle y jetait les textes de cuivre en silence, laissant les volontés danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une aspiration lente, une habituation parvenue d’un acte traditionnel répété sans fin. https://voyance-par-sms-24-2401110.wssblogs.com/34161230/les-courbes-calmés