Les nuits se succédaient dans la vallée andalouse, calmes en aspect mais chargées d’une tension silencieuse. Ana poursuivait ses ères, habitée par une diversité d’émerveillement et de culpabilité. Chaque soir, dans le jardin parfumé par le jasmin, elle libérait délicatement ses papillons nocturnes, adoptant sérieusement leurs vols brillant mais funestes. https://lorenzomtaeh.bloggadores.com/33493843/les-ailes-du-calme